Les conventions de Genève sont claires. Article 3. Les prisonniers doivent être traités humanement. Point. Pas d’exceptions. Pas de conditions. Pas de négociations. Humanement. C’est tout. L’exécution des prisonniers est un crime de guerre. Le plus grave. C’est un crime contre l’humanité. C’est ce que le Tribunal de Nuremberg a jugé. C’est ce que le Tribunal Pénal International poursuit. C’est ce qui se passe à Kotlyne le 19 novembre. Cinq hommes. Aucune défense. Aucune menace. Aucun crime. Juste exécutés. Juste tués. La Russie nie. La Russie dit qu’il n’y a pas de crimes de guerre. La Russie dit que c’est ukrainien qui violent les conventions. La Russie ment. Les vidéos ne mentent pas. Les drones ne mentent pas. Les rapports ne mentent pas. Le United Nations Human Rights Monitoring Mission a documenté des centaines de cas. Des centaines. Des milliers peut-être. Le Donetsk Oblast Prosecutor’s Office a lancé une enquête formelle. La classification c’est claire. Partie 2 Article 438 du Code pénal ukrainien. Crime de guerre entraînant la mort. La peine c’est prison à vie. Au minimum. Probablement la peine de mort pour les pires crimes. Quand tout ça sera fini. Quand les tribunaux rouverteront.
Les antécédents systématiques de meurtres de prisonniers
Ce n’est pas un incident isolé. Ce n’est pas le premier crime. Ce n’est pas une exception rare. Les exécutions de prisonniers russes c’est systématique. C’est organisé. C’est documenté. En novembre deux mille vingt-quatre le UN Human Rights Monitoring Mission a confirmé quatre-vingt-dix-neuf exécutions. En mars deux mille vingt-cinq c’était trois cent vingt. En novembre deux mille vingt-cinq c’est plus. Beaucoup plus. Chaque mois le nombre augmente. Chaque mois de nouveaux crimes. Chaque mois des vidéos horribles. Le Ukrainian Military Intelligence Agency rapporte plus de cent cinquante cas. Plus de cent cinquante meurtres documentés de prisonniers. Trois cent vingt selon les estimations basses. Peut-être quatre cents peut-être cinq cents. Personne ne sait exactement. Les crimes s’accumulent plus vite que les enquêtes peuvent les traiter. C’est un flot constant. Une hémorragie de crimes. Une avalanche de barbarie.
Cent cinquante cas documentés. Trois cent vingt confirmés. Chaque nombre c’est un visage. Chaque cas c’est une famille qui pleure. Et ça continue.
Le cas Dmitry Kurashov : la première condamnation à perpétuité
En novembre deux mille vingt-cinq Dmitry Kurashov a été condamné. À perpétuité. C’est la première. La première condamnation à perpétuité pour exécution de prisonniers. Kurashov c’est un soldat russe. Âgé de vingt-sept ans. Ancien criminel. Voleur en Russie. Il a accepté de combattre en Ukraine pour l’amnistie. Pour quitter la prison. C’est un type qu’on force à la guerre. Pas un volontaire zélé. Mais un criminel réinséré par la force. Et il a exécuté Vitaliy Hodnyuk. Jeune soldat ukrainien. Qui sortait de sa tranchée. Qui levait les mains. Qui suivait les ordres. Et Kurashov a tiré. Point-blank. À bout portant. C’était documenté. C’était filmé. C’était prouvé sans aucune doute. Kurashov a d’abord avoué. Puis il a nié. Il a dit que c’était un autre. Mais les témoins ont parlé. Les autres prisonniers russes ont témoigné contre lui. La cour a jugé. Culpabilité. Perpétuité. Kurashov a perdu un œil dans la bataille d’après. Perdu sa vue. Mais pas sa conscience apparemment. Kurashov c’est juste un exemple. Le premier exemple. Mais il y en a d’autres. Des dizaines d’autres. Des centaines peut-être.
Le système des primes et des encouragements
Ce qui est horrible c’est que les exécutions ne sont pas accidentelles. Ne sont pas des incidents regrettables. Elles sont encouragées. Elles sont récompensées. Les Russes publient les vidéos. Les partagent. Les célèbrent. Il y a même des compétitions entre unités. Des concours macabres pour savoir qui peut faire le plus. Qui peut publier les vidéos les plus choquantes. Qui peut enregistrer les meurtres les plus spectaculaires. C’est une compétition de barbarie. Une course au crime. Les officiers russes ferment les yeux. Les officiers supérieurs permettent. Peut-être même encouragent. C’est un système complet. Une machine à crimes. Pas un individu mal. Pas une unité corrompue. C’est institutionnel. C’est structural. C’est la Russie elle-même.
Les concours macabres. Les vidéos publiées. Les rires enregistrés. Ce n’est pas la guerre. C’est la barbarie organisée.
Kotlyne et la région de Pokrovsk : une zone de crimes constants
Kotlyne c’est un village agricole. Petit. Tranquille avant la guerre. Maintenant c’est une zone de combat intensif. Pokrovsk est tout proche. C’est la plus grande ville de la région. Les Russes la veulent. Veulent la prendre. Veulent la raser. Et ils utilisent Kotlyne comme point d’accès. Comme corridor d’attaque. Et Kotlyne devient un abattoir. Devient un cimetière. Devient un endroit où les crimes deviennent ordinaires. Où l’exécution de prisonniers c’est juste une partie de l’opération militaire. Le 19 novembre ce n’est pas le premier crime à Kotlyne. C’est juste le plus filmé. Le plus documenté. Le plus visible. Il y a eu d’autres exécutions. D’autres meurtres. D’autres vidéos. Kotlyne c’est tombé le 19 novembre. Les Russes ont avancé. Les Ukrainiens se sont retirés. Et pendant ce processus ces cinq hommes ont choisi la reddition. Ont choisi de vivre. Ont choisit mal.
Le prix humain des opérations à Pokrovsk
Pokrovsk c’est le point focal. C’est où les Russes concentrent leur offensive. C’est où les pertes sont les plus élevées. C’est où les crimes sont les plus graves. Les Russes perdent des milliers de soldats. Les Ukrainiens en perdent des centaines. Et dans ce chaos il y a des exécutions. Des représailles. Des crimes. Les Russes essaient d’intimidation. Essaient de terroriser. Essaient de briser la volonté ukrainienne. Mais ça marche pas. Ça fait le contraire. Ça renforce. Ça unit. Ça crée de la détermination. Chaque exécution c’est un otage de plus pour les Ukrainiens. C’est un raison de plus de combattre. C’est une motivation de plus de ne pas reculer. Kotlyne tombe mais c’est avec un prix énorme. Pas juste en vies. En humanité. En dignity. En respect des règles de la civilisation.
Pokrovsk devient le laboratoire des crimes russes. Chaque bataille chaque victoire chaque recul c’est accompagné d’atrocités.
La documentation internationale et les enquêtes
L’International Committee of the Red Cross a reçu les rapports. Le United Nations Office of the High Commissioner for Human Rights a été notifié. Les organismes internationaux de droits humains enquêtent. La Cour Pénale Internationale observe. Tout ça c’est documenté. Tout ça sera jugé. Peut-être pas demain. Peut-être pas dans cinq ans. Mais ça sera jugé. Les noms seront enregistrés. Les crimes seront catalogués. Les vidéos seront stockées. Les preuves seront conservées. Quand la guerre finira. Quand la Russie sera défaite. Quand Poutine s’enfuira. Les tribunaux ouvriront. Et les criminel comparaîtront. L’histoire l’a montré. Nuremberg après la Deuxième Guerre mondiale. Les tribunaux pour la Yougoslavie. Les tribunaux pour le Rwanda. La justice internationale fonctionne. Lentement. Laborieusement. Mais ça fonctionne. Et ces cinq soldats. Ces cinq hommes exécutés le 19 novembre à Kotlyne. Leurs morts ne seront pas oubliés.
Les responsabilités de commandement et la chaîne de culpabilité
Ce qui est important c’est que ce n’est pas juste les soldats. Ce ne sont pas juste les individus qui appuient sur la gâchette. C’est la chaîne de commandement. C’est les officiers qui ordonnent. C’est les généraux qui permettent. C’est le Kremlin qui tolérer. La responsabilité c’est collective. La culpabilité c’est massive. Chaque personne dans la chaîne de commandement qui savait et n’a pas arrêté. Chaque officier qui a regardé les vidéos et n’a rien dit. Chaque commandant qui a reçu les rapports et a fermé les yeux. Tous coupables. Tous responsables. C’est ça que les tribunaux internationaux jugent. Pas juste le soldat au fusil. Mais tout le système. Tout l’appareil.
La chaîne de commandement. De Poutine en bas jusqu’à Kotlyne. Chaque maillon coupable. Chaque maillon responsable.
Conclusion : le crime qui prouve l'absence d'humanité russe
Cinq soldats face au sol. Puis les balles. Puis le silence. C’est ça le 19 novembre à Kotlyne. C’est ça la Russie. C’est ça le projet criminel de Poutine. Ce n’est pas une armée. Ce n’est pas une nation. C’est une machine à tuer. C’est une organisation criminelle avec des armes nucléaires. C’est un état voyou qui viole les règles internationales. Qui refuse les conventions. Qui exécute les prisonniers. Qui filme les crimes. Qui célèbre les meurtres. C’est monstrueux. C’est l’absence complète d’humanité. Et ça doit être jugé. Ça doit être arrêté. Ça doit être puni. Les cinq soldats à Kotlyne méritaient mieux. Méritaient la vie. Méritaient le respect des conventions. Méritaient l’humanité basique. Et au lieu de ça ils ont reçu les balles. Ils ont reçu la mort. Ils ont reçu l’oubli. Sauf que ce n’est pas l’oubli. C’est la mémoire. C’est la preuve. C’est l’indictement éternel contre la Russie.
L’impunité qui ne doit pas continuer
La Russie compte sur l’impunité. Compte sur le temps qui passe. Compte sur l’oubli. Compte sur la fatigue de la communauté internationale. Mais ça marche pas. Les vidéos resteront. Les preuves resteront. Les noms resteront. Dmitry Kurashov va passer sa vie en prison. D’autres vont le rejoindre. Les tribunaux vont juger. La justice va prévaloir. Peut-être lentement. Peut-être laborieusement. Mais ça va arriver. Et les cinq soldats de Kotlyne. Ils seront vengés. Pas par la mort. Pas par la vengeance. Mais par la justice. Par les verdicts. Par la condamnation internationale. Par l’histoire qui enregistrera leur nom. Par le monde qui se souvendra. Le Russia ne peut pas continuer. Le crime ne peut pas rester impuni éternellement. Kotlyne c’est le tournant. C’est la preuve irréfutable. C’est l’accusation finale.
Les cinq morts de Kotlyne. Ils sont morts pour rien. Mais leur mort signifie quelque chose maintenant. Elle signifie la fin inévitable de la Russie criminelle.
Source : theweek
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