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Chronique: Jour 1369, la pince se ferme. Ukraine étouffe. Trump regarde.
Crédit: Adobe Stock

Trump envoie un plan. Vingt-huit points. Un plan qui donne tout à la Russie. La Russie garde la Crimée. La Russie garde les quatre oblasts. La Russie garde quarante pour cent du Donbas. Et Ukraine doit se retirer des zones qu’elle contrôle encore. Ukraine doit accepter une zone démilitarisée. Ukraine doit accepter une constitution sans l’OTAN. Ukraine doit réduire son armée de neuf cent mille à six cent mille hommes. Ukraine doit faire des élections en cent jours. Rien de ça pour la Russie. Rien. Et le deadline c’est jeudi. Jeudi 27 novembre. Thanksgiving. Si Ukraine ne dit pas oui les États-Unis coupent l’aide. Les sénateurs américains disent qu’ils ne savaient pas pour la menace. Le Secrétaire d’État Rubio dit que c’était une initiative russe. Mais la Maison Blanche dit que c’était leur plan. Tout le monde ment. Tout le monde négocie. Et Ukraine est au milieu en train de suffoquer. Zelenskyy ne peut pas accepter. Zelenskyy sait que ce plan c’est la mort lente. Ce plan c’est juste repousser l’invasion suivante. Ce plan c’est garantir la défaite. Mais Zelenskyy a pas le choix. Si Zelenskyy refuse l’aide s’arrête. Et sans aide Ukraine ne peut pas combattre. Avec le plan Ukraine cède. Sans le plan Ukraine s’écroule. C’est un dilemme. C’est un piège.

Les conditions impossibles et l’architecture d’une nouvelle défaite

Le plan demande que Ukraine soit désarmée. Six cent mille soldats. C’est une armée de seconde zone. La Russie en a un million. La Russie peut attaquer à nouveau. Et une Ukraine désarmée ne peut pas défendre. C’est l’architecture. C’est le design. C’est intentionnel. Le plan donne aussi le contrôle des actifs russes gelés à Trump. Trump va prendre les actifs russes. Et donner cinquante pour cent de ce qu’il gagne à … personne. L’Europe paie. L’Europe paie cent milliards de reconstruction. Et Trump gagne. Et Ukraine perd. Et la Russie reste victorieuse. C’est mathématique. C’est pervers. C’est du génie maléfique. Et Zelenskyy doit décider avant jeudi. Comment refuse-t-on ça sans couper l’aide? Comment accepte-t-on ça sans condamner le pays? Les généraux ukrainiens se demandent. Les civils sont horrifiés. L’Europe proteste. Mais le deadline avance. Inexorable. Jeudi. Jeudi. Jeudi. Trois jours pour décider l’avenir. C’est pas assez de temps. C’est exactement assez de temps pour obliger Ukraine à accepter. Trump le sait. C’est du timing psychologique.

Jeudi. C’est quand? C’est demain presque. Et je dois décider si j’abandonne mon pays ou si je perds l’aide que j’ai besoin pour défendre mon pays. C’est le choix que Trump impose. C’est cruel. C’est efficace. C’est monstrueux.

Source : euromaidanpress

Ce contenu a été créé avec l'aide de l'IA.

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