L’Ukraine veut rejoindre l’OTAN. Ukraine crie pour l’OTAN. Ukraine le supplie. Et pourquoi? Parce que l’Ukraine sait. Sait que l’OTAN c’est la protection. L’OTAN c’est l’assurance. L’OTAN c’est Article 5. C’est le bouclier. Et si l’Ukraine rejoint l’OTAN avant que la Russie gagne alors la Russie ne peut plus avancer. La Russie ne peut plus prendre le territoire. Parce que prendre le territoire d’un membre de l’OTAN c’est déclarer la guerre à l’OTAN. Et la Russie n’ose pas. Pas ouvertement. Pas officiellement. Et donc l’Ukraine doit rejoindre l’OTAN maintenant. Pas après la guerre. Pas après la paix. Maintenant. Pendant la guerre. Pendant que la Russie est occupée. Pendant qu’il y a encore du temps. Mais l’Occident refuse. L’Occident dit : pas pendant la guerre. C’est trop risqué. C’est trop dangereux. Et donc l’Ukraine attend. Et pendant qu’Ukraine attend la Russie gagne. Et quand la Russie gagne l’Ukraine ne peut plus rejoindre l’OTAN. Parce que l’OTAN ne peut pas accepter un pays occupé. Donc la fenêtre se ferme. Se ferme lentement. Se ferme inexorablement. Et bientôt il n’y aura plus de fenêtre.
Le fenêtre qui se ferme et l’Europe qui n’agit pas
La fenêtre stratégique pour l’Ukraine rejoint l’OTAN se ferme. Novembre deux mille vingt-cinq. C’est maintenant. C’est le dernier moment. C’est l’heure critique. L’Europe peut dire oui à Ukraine maintenant. Peut étendre la protection d’Article 5 maintenant. Peut créer un parapluie de sécurité maintenant. Ou l’Europe peut hésiter. Peut douter. Peut se demander. Et pendant qu’elle se demande la fenêtre se ferme. Se ferme pour toujours probablement. Et ensuite l’Ukraine sera livrée à elle-même. Sera abandonnée. Sera sacrifiée pour la paix. Pour la diplomatie. Pour l’arrangement mou avec la Russie. Et alors l’Europe aura perdu. Perdu Ukraine. Perdu la possibilité de sécuriser sa frontière. Perdu la possibilité d’étendre la démocratie. Perdu la possibilité de construire un ordre européen stable. Et l’Europe va payer. Payer pendant des décennies. Payer en instabilité. Payer en migration. Payer en menace constante. Payer en perte de position géopolitique.
La fenêtre est maintenant. Et je vois les leaders européens qui regardent par la fenêtre. Qui voient les enjeux. Mais qui ferment les yeux. Qui détournent le regard. Qui refusent de franchir la porte.
La menace hybride et l'attrition progressive
Poutine teste les limites de l’OTAN maintenant. Septembre deux mille vingt-cinq. Les drones russes. Les violations de l’espace aérien. Les infiltrations. Les attaques contre l’infrastructure critique. C’est pas la guerre directe. C’est la guerre grise. C’est l’attrition progressive. C’est l’usure avant la bataille. Poutine teste voir si l’OTAN va vraiment se battre. Si l’Amérique va vraiment intervenir. Si l’Europe va vraiment résister. Et chaque violation que l’OTAN tolère c’est un signal. C’est un message que Poutine reçoit. Un message que dit : vous n’allez pas vraiment combattre. Vous allez parler. Vous allez protester. Vous allez voter des sanctions. Mais vous ne combattrez pas. Et donc Poutine augmente le volume. Augmente la fréquence. Augmente l’audace. Jusqu’à ce que la ligne rouge soit franchie. Jusqu’à ce que l’attrition se transforme en guerre véritable. Et alors c’est trop tard. Alors l’Europe doit combattre dans des conditions qu’elle n’a pas choisies. Sur un terrain qu’elle ne contrôle pas. Contre un ennemi qui a eu le temps de se préparer.
L’infrastructure balte et la dépendance technologique
Les câbles sous-marins dans la Baltique. Les pipelines. Les installations critiques. Tout ça c’est vulnérable. Tout ça c’est exposé. Et la Russie le sait. Et la Russie le cible. Non pas pour causer la destruction immédiate. Pas pour déclarer la guerre. Juste pour affaiblir. Juste pour montrer que l’Europe est vulnérable. Juste pour rappeler que la Russie peut atteindre les infrastructures essentielles. Et chaque attaque contre l’infrastructure c’est une attaque contre l’économie. C’est une attaque contre la sécurité. C’est une attaque contre le nerf vital de l’Europe. Et l’Europe réagit. Déploie des forces. Augmente la surveillance. Mais c’est défensif. C’est réactif. C’est pas assez. Pour vraiment protéger il faut attaquer. Il faut éliminer la menace à la source. Il faut que l’Ukraine gagne. Il faut que l’Ukraine élimine l’outil de la Russie. Et donc tout ramène à l’Ukraine. Tout dépend de l’Ukraine. Tout tourne autour de la victoire ukrainienne.
L’infrastructure balte brûle et l’Europe regarde. L’Europe comprend que c’est un test. Mais l’Europe ne réagit pas. Et Poutine prend note. Prend note que l’Europe a peur.
Conclusion : le moment de vérité pour l'Europe
L’Europe doit choisir. Maintenant. Pas dans un mois. Pas demain. Maintenant. L’Europe doit décider si elle va vraiment combattre pour sa sécurité. Ou si elle va accepter la dépendance. Accepter la menace. Accepter la vie sous pression russe constante. Et le choix passe par l’Ukraine. L’Ukraine c’est le test. L’Ukraine c’est la ligne dans le sable. Si l’Europe abandonne l’Ukraine alors l’Europe abandonne le principe de sécurité collective. Abandonne l’ordre international. Abandonne l’idée que les frontières sont sacrées. Et une fois que vous abandonnez ça vous avez perdu. Vraiment perdu. Parce que vous avez dit au monde : la loi du plus fort c’est acceptable. Et le plus fort c’est la Russie. Donc le plus fort va continuer. Va prendre plus. Va conquérir plus. Et l’Europe va regarder. Et l’Europe va pleurer. Et l’Europe va prier que ça s’arrête. Mais ça n’arrêtera pas. Ça continuera. Jusqu’à ce que la Russie ait ce qu’elle veut. Jusqu’à ce que l’Europe capitule. Jusqu’à ce que tout soit fini.
L’urgence de l’action et le coût de l’inaction
Le temps s’écoule. Vite. Très vite. Chaque jour qui passe c’est un jour où la Russie gagne du terrain. Un jour où la fenêtre de l’opportunité se rétrecit. Un jour où l’Ukraine s’affaiblit. Et l’Europe regarde. Regarde et attend. Attend que quelqu’un d’autre agisse. Attend que Trump décide. Attend que l’Amérique bouge. Attend le miracle. Et personne n’agit. Et aucun miracle n’arrive. Et l’Europe continue à attendre. C’est l’inertie. C’est l’absence de volonté politique. C’est la peur. La peur des sacrifices. La peur de la guerre. La peur de l’engagement. Et la peur c’est un poison. La peur paralyse. La peur tue. Et l’Europe meurt de peur. Meurt de l’inaction. Meurt de l’absence de volonté. Et quand la Russie arrive aux portes de Varsovie on se demandera : pourquoi? Pourquoi n’avons-nous pas agi? Pourquoi n’avons-nous pas soutenu l’Ukraine? Pourquoi n’avons-nous pas compris? Et la réponse sera : parce que nous avions peur. Parce que nous avions doute. Parce que nous avions espéré que ça s’en irait tout seul. Mais ça ne s’en irait jamais tout seul. Et maintenant c’est trop tard.
L’urgence. Je sens l’urgence. Je crie l’urgence. Mais personne ne l’entend. Personne ne court. Personne n’agit. Et chaque jour qui passe c’est un jour où le moment s’échappe. Et bientôt il n’y aura plus de moment.
Les alliés fidèles et l’Europe qui se réveille
Mais il y a de l’espoir. Il y a des pays qui comprennent. Des pays qui agissent. La Pologne. La Baltique. L’Europe centrale. Ils savent. Ils comprennent que l’Ukraine c’est la première ligne. Que si l’Ukraine tombe ils tombent. Et donc ils se préparent. Augmentent les budgets. Renforcent l’armée. Construit les défenses. Ces pays sont les gardiens de l’Europe. Les sentinelles. Les derniers remparts. Et si ces pays réussissent à survivre alors peut-être que l’Europe survivra. Peut-être que l’ordre européen survivra. Peut-être qu’il n’y aura pas de chaos. Mais ça demande que l’Occident soutienne Ukraine. Ça demande que l’Europe dit oui. Ça demande que les États-Unis continue. Et ça demande que tous parlent d’une seule voix. Une voix qui dit : l’Ukraine gagnera. L’Europe gagnera. La démocratie gagnera. Et la Russie perdra.
Les sentinelles de l’Europe sont à leur poste. Sont en vigilance. Mais elles sont seules presque. Et les sentinelles seules ne peuvent pas tenir la ligne. Pas contre la Russie. Pas pendant longtemps.
Le choix final et la responsabilité historique
L’Europe doit choisir. Rejette l’Ukraine maintenant et accepte les conséquences pendant cinquante ans. Peut-être cent ans. Une Europe dominée par la Russie. Une Europe sans liberté réelle. Une Europe qui vit sous peur. Une Europe qui ne décide pas son destin. Ou accepte l’Ukraine maintenant. Accorde la sécurité. Accorde la protection. Accorde la certitude. Et combat si nécessaire. Accepte les risques. Accepte les pertes. Mais protège la liberté. Protège l’ordre. Protège l’avenir. C’est le choix. C’est le choix que l’Europe doit faire. Et ce choix doit être fait maintenant. Novembre deux mille vingt-cinq. C’est maintenant. C’est aujourd’hui. C’est maintenant ou jamais. Parce qu’après ce sera trop tard. Après ce sera l’histoire. Après ce sera les regrets. Après ce sera le jugement des générations futures qui diraient : comment avez-vous laissé ça arriver? Comment avez-vous permis? Comment avez-vous accepté? Et l’Europe devra répondre. Et la réponse sera honteuse. Sera pathétique. Sera le poids que l’Europe portera à jamais.
Le choix doit être fait maintenant. Mais je sais qu’il ne sera pas fait. Je sais que l’Europe continuera à hésiter. Continuera à douter. Continuera à attendre. Et le choix sera fait pour nous par la Russie. Et le choix sera la défaite.
Source : VDQ
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