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Chronique : L’Ukraine doit gagner ou l’Europe tombe. Il n’y a pas de tiers. Choisissez.
Crédit: Adobe Stock

L’Ukraine veut rejoindre l’OTAN. Ukraine crie pour l’OTAN. Ukraine le supplie. Et pourquoi? Parce que l’Ukraine sait. Sait que l’OTAN c’est la protection. L’OTAN c’est l’assurance. L’OTAN c’est Article 5. C’est le bouclier. Et si l’Ukraine rejoint l’OTAN avant que la Russie gagne alors la Russie ne peut plus avancer. La Russie ne peut plus prendre le territoire. Parce que prendre le territoire d’un membre de l’OTAN c’est déclarer la guerre à l’OTAN. Et la Russie n’ose pas. Pas ouvertement. Pas officiellement. Et donc l’Ukraine doit rejoindre l’OTAN maintenant. Pas après la guerre. Pas après la paix. Maintenant. Pendant la guerre. Pendant que la Russie est occupée. Pendant qu’il y a encore du temps. Mais l’Occident refuse. L’Occident dit : pas pendant la guerre. C’est trop risqué. C’est trop dangereux. Et donc l’Ukraine attend. Et pendant qu’Ukraine attend la Russie gagne. Et quand la Russie gagne l’Ukraine ne peut plus rejoindre l’OTAN. Parce que l’OTAN ne peut pas accepter un pays occupé. Donc la fenêtre se ferme. Se ferme lentement. Se ferme inexorablement. Et bientôt il n’y aura plus de fenêtre.

Le fenêtre qui se ferme et l’Europe qui n’agit pas

La fenêtre stratégique pour l’Ukraine rejoint l’OTAN se ferme. Novembre deux mille vingt-cinq. C’est maintenant. C’est le dernier moment. C’est l’heure critique. L’Europe peut dire oui à Ukraine maintenant. Peut étendre la protection d’Article 5 maintenant. Peut créer un parapluie de sécurité maintenant. Ou l’Europe peut hésiter. Peut douter. Peut se demander. Et pendant qu’elle se demande la fenêtre se ferme. Se ferme pour toujours probablement. Et ensuite l’Ukraine sera livrée à elle-même. Sera abandonnée. Sera sacrifiée pour la paix. Pour la diplomatie. Pour l’arrangement mou avec la Russie. Et alors l’Europe aura perdu. Perdu Ukraine. Perdu la possibilité de sécuriser sa frontière. Perdu la possibilité d’étendre la démocratie. Perdu la possibilité de construire un ordre européen stable. Et l’Europe va payer. Payer pendant des décennies. Payer en instabilité. Payer en migration. Payer en menace constante. Payer en perte de position géopolitique.

La fenêtre est maintenant. Et je vois les leaders européens qui regardent par la fenêtre. Qui voient les enjeux. Mais qui ferment les yeux. Qui détournent le regard. Qui refusent de franchir la porte.

Source : VDQ

Ce contenu a été créé avec l'aide de l'IA.

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