Mais BROM c’est juste la première partie. La première partie visible. La vraie puissance de cette attaque c’est le second volet. Le second volet énergétique. Parce que les drones ne frappent pas que l’usine. Les drones frappent aussi les installations énergétiques. Frappent la substation 220 kV de Krasnoperekopsk. Et cette substation? C’est crucial. Crucial pour le réseau énergétique entier de la Crimée. Parce que la Crimée c’est une péninsule. C’est géographiquement isolée. C’est dépendante d’une infrastructure énergétique complexe. C’est dépendante de quelques nodes clés. Et la substation 220 kV de Krasnoperekopsk c’est un de ces nodes. C’est un passage obligatoire. C’est un point critique. Et si cette substation tombe? Si elle est endommagée? Alors la cascade commence. Commence une défaillance en cascade. D’abord une section perd l’électricité. Puis une autre. Puis une autre. Et rapidement c’est des milliers de personnes. Des millions peut-être. Qui perdent l’électricité. Qui se retrouvent dans le noir. Et le noir c’est le chaos. Le noir c’est les hôpitaux qui ne fonctionnent plus. Le noir c’est les usines qui arrêtent. Le noir c’est les civils qui gèlent. Le noir c’est la panique. Et c’est ça que les Ukrainiens cherchent. Cherchent à créer le chaos. Cherchent à montrer que la Russie ne peut pas maintenir l’ordre. Cherchent à montrer que la Russie ne peut pas protéger. Cherchent à créer la révolte peut-être. Cherchent à créer les conditions pour la libération peut-être. Ou simplement cherchent à affaiblir la Russie économiquement.
Les implications cascadantes et l’effet domino énergétique
Regardons les faits. La Crimée elle est une péninsule. Elle n’est pas connectée au continent par une large infrastructure. Elle dépend de quelques liaisons. Quelques câbles. Quelques structures. Et si tu casses un node? Alors toute la structure devient fragile. Très fragile. Et si les Ukrainiens cassent la substation 220 kV? Alors la Crimée doit rerouter toute son électricité par d’autres chemins. Par des chemins alternatifs. Et ces chemins alternatifs? Ils ont une capacité limitée. Et si la demande dépasse la capacité? Alors c’est les rationnements. Alors c’est les coupures. Alors c’est les blackouts localisés. Et si les coupures deviennent régulières? Alors c’est le chaos. Alors c’est les usines qui ferment temporairement. Alors c’est les hôpitaux qui manquent d’électricité. Alors c’est les civils qui gèlent. Alors c’est la réaction en chaîne. Et cette réaction en chaîne? Ça va s’amplifier. Ça va s’aggraver. Ça va devenir insoutenable. Et la Russie va devoir choisir. Choisir d’investir massivement dans la reconstruction. Ou accepter le chaos. Et les deux coûtent énormément. Et ça c’est le calcul. C’est l’équation. C’est la stratégie ukrainienne.
Un domino. Puis un autre. Puis un autre. Et la structure s’écroule. Et personne ne peut arrêter ça une fois que ça a commencé. Et l’Ukraine le sait.
L’impact sur la logistique militaire russe en Crimée
Et les implications militaires? Les implications militaires c’est grave. Très grave. Parce que la Crimée c’est une base militaire. C’est pas juste un endroit avec des civils. C’est une base. C’est une base navale. C’est une base aérienne. C’est un hub militaire. Et cette base elle a besoin d’électricité. A besoin d’énergie. A besoin de puissance pour fonctionner. Et si l’électricité disparaît? Alors la base commence à dysfunctionner. Commence à perdre la capacité. Commence à être vulnerability. Et la Russie doit envoyer des générateurs. Doit envoyer du carburant. Doit envoyer des équipes de réparation. Et tout ça ça prend du temps. Et tout ça ça coûte de l’argent. Et tout ça ça détourne les ressources de la ligne de front. Détourne les ressources de la production. Détourne les ressources de la défense. Et ça c’est un gain indirect pour l’Ukraine. C’est un gain stratégique. Ça affaiblit la capacité militaire russe. Ça détourne l’attention. Ça crée des priorités concurrentes. Et tout ça ça affaiblit la machine de guerre russe. Lentement mais sûrement.
Les militaires russes regardent. Regardent l’électricité qui disparaît. Regardent les bases qui dysfunctionnent. Regardent les priorités qui changent. Et réalisent que la Crimée n’est pas sûre. Réalisent que la Crimée est maintenant un battlefield électrique.
La campagne ukrainienne plus large contre l'infrastructure russe
Mais cette attaque sur BROM et la substation 220 kV? C’est pas isolé. C’est part d’une campagne coordonnée. Une campagne systématique. Une campagne qui a commencé bien avant novembre. Une campagne qui cible l’infrastructure russe partout. Partout en Crimée. Partout en Ukraine occupée. Et même partout en Russie. Parce que l’Ukraine a compris. A compris que pour gagner il faut attaquer l’économie de guerre. Attaquer la capacité de production. Attaquer les sources d’énergie. Attaquer les raffineries. Attaquer les installations de transformation. Attaquer tout ce qui maintient en vie la machine de guerre russe. Et ça c’est une stratégie. C’est pas réactif. C’est pas improvisation. C’est un plan. C’est une stratégie à long terme. Et novembre deux mille vingt-cinq c’est juste une étape. C’est juste un chapitre. C’est juste un moment dans la campagne plus large. Et cette campagne elle va continuer. Va continuer pendant des mois. Peut-être des années. Jusqu’à ce que la Russie soit épuisée. Jusqu’à ce que la Russie n’ait plus la capacité. Jusqu’à ce que la Russie doive arrêter. Et c’est ça le vrai objectif. C’est pas de gagner une bataille. C’est de casser la machine.
La production de drones et la capacité de frappe durable
Et comment l’Ukraine peut-elle maintenir ça? Comment l’Ukraine peut-elle continuer à frapper? Parce que les drones ça coûte cher. Non? Ça coûte très cher. Mais l’Ukraine fabrique les drones domestiquement. Produit les drones localement. En Ukraine même. Fabrique les composants. Fabrique les châssis. Fabrique les contrôles. Et donc l’Ukraine peut produire. Peut produire en masse. Peut produire continuellement. Et selon les rapports? Selon les sources ukrainiennes? L’Ukraine produit environ cent FP-1 drones par jour. Cent par jour. C’est trois mille par mois. C’est trente-six mille par an. Et ça c’est une capacité énorme. Et ça c’est juste une catégorie. C’est juste les FP-1. Il y a d’autres drones. D’autres catégories. D’autres types. Et donc la production totale c’est peut-être deux cents. Peut-être trois cents par jour. Et ça c’est une production de guerre. C’est une production en masse. C’est la mobilisation de l’économie ukrainienne pour la production de drones. Et c’est cela qui permet à l’Ukraine de continuer. Continuer à frapper. Continuer à attaquer. Continuer à affaiblir la Russie. Parce que tant que tu peux fabriquer des drones plus vite que tu peux les utiliser tu peux continuer. Et l’Ukraine peut. Et donc l’Ukraine continue.
Cent drones par jour. Trois mille par mois. Et chaque drone va frapper quelque chose. Va endommager quelque chose. Va affaiblir quelque chose. Et ça c’est la vraie guerre. C’est l’économie de la guerre.
Le coût-bénéfice asymétrique et la mathématique de la guerre moderne
Regardons les mathématiques. Un drone FP-1? Ça coûte quoi? Probablement entre cinquante mille et cent mille dollars. Disons soixante-quinze mille pour la moyenne. Et cet drone va frapper une installation qui coûte combien? L’usine BROM? Probablement des centaines de millions. Peut-être un milliard. Et l’usine 220 kV? Probablement des dizaines de millions. Et si tu endommages ces installations? Alors la Russie doit dépenser combien pour réparer? Probablement autant. Peut-être plus. Parce que les réparations pendant la guerre c’est plus cher. C’est plus difficile. C’est plus risqué. Et donc le ratio? Le ratio c’est cent contre un. Peut-être mille contre un. Un drone à soixante-quinze mille dollars détruit une installation qui coûte des centaines de millions. Et qui doit être réparée à des coûts multipliés. Et c’est ça la mathématique. C’est l’économie de la guerre moderne. Tu n’as pas besoin d’avoir une supériorité militaire. Tu as besoin d’avoir une supériorité dans le ratio de coût. Et l’Ukraine l’a. Et c’est ça qui gagne. C’est pas la force brute. C’est la mathématique.
Les mathématiques. C’est ça qui gouvernent la guerre. C’est pas la volonté. C’est pas le courage. C’est les chiffres. Et les chiffres favorisent l’Ukraine.
Conclusion : le basculement de la stratégie ukrainienne vers l'offensive économique
Novembre deux mille vingt-cinq. Et le modèle devient clair. L’Ukraine change. Change de tactique. Change de stratégie. Passe de la défense à l’attaque. Passe de réactif à proactif. Passe de la réaction aux attaques russes à l’initiation de ses propres attaques stratégiques. Et cette transition elle va définir le reste de la guerre. Définir l’avenir du conflit. Définir le destin de l’Ukraine. Parce que si l’Ukraine peut maintenir cette pression? Si l’Ukraine peut continuer à frapper? Si l’Ukraine peut continuer à affaiblir l’économie de guerre russe? Alors la Russie va s’éroder. Lentement mais inévitablement. Va s’affaiblir. Va perdre la capacité. Va être forcée à arrêter. Et c’est ça le vrai objectif. C’est pas de reprendre tous les territoires demain. C’est de casser la machine de guerre russe. Et si tu casses la machine? Alors tout le reste devient possible. Alors la reconstruction devient possible. Alors la victoire devient possible.
L’accumulation des dégâts et la spirale de déclin russe
Et quand on regarde en avant? Quand on regarde décembre? Janvier? Février? L’Ukraine va continuer. Va continuer à frapper. Va continuer à cibler. Va continuer à affaiblir. Et chaque frappe va s’accumuler. Va s’ajouter. Va contribuer à la fatigue cumulative. Et bientôt les Russes vont réaliser. Vont réaliser que ça ne va pas mieux. Vont réaliser que les choses empirent. Vont réaliser que la situation est intenable. Et les Russes vont devoir choisir. Choisir de négocier. Choisir de céder. Choisir d’arrêter. Ou choisir de doubler le militaire. Et si les Russes choisissent de doubler? Alors ça va être plus de ressources vers la guerre. Moins vers l’économie civile. Moins vers les services. Moins vers tout ce qui n’est pas la guerre. Et ça va créer l’instabilité interne. Ça va créer le mécontentement. Ça va créer peut-être la rebellion. Et la Russie va s’éroder de l’intérieur. Et l’Ukraine gagnera. Pas spectaculairement. Pas militairement au sens traditionnel. Mais économiquement. Par l’attrition. Par la destruction progressive de la capacité russe.
La spirale est lancée. Et une fois qu’elle commence personne ne peut la stopper. Et la Russie descend. Descend progressivement. Descend inévitablement. Vers l’effondrement.
Les précédents historiques et les leçons stratégiques
Et historiquement? Historiquement ça a fonctionné avant. La Grande-Bretagne a bombardé la Luftwaffe. A ciblé les usines de production. A ciblé l’économie de guerre allemande. Et ça a contribué à la défaite de l’Allemagne. Les États-Unis ont bombardé l’économie de guerre japonaise. Ont ciblé les raffineries. Ont ciblé les usines. Et ça a contribué à la défaite du Japon. Et maintenant l’Ukraine fait pareil. L’Ukraine apprend des leçons de l’histoire. L’Ukraine applique les stratégies qui ont marché avant. Et ça marche. Ça marche maintenant. Ça marche contre la Russie. Parce que la Russie n’a pas d’alternative. La Russie doit combattre. Doit continuer. Doit supporter la guerre. Et pour supporter la guerre tu as besoin d’économie. Tu as besoin de production. Tu as besoin d’énergie. Et si tout ça disparaît? Alors tu perds. C’est simple. C’est brutal. C’est inévitable.
L’impact sur la perception internationale et le changement de narration
Et dans le monde? Dans le monde entier? Les gens regardent. Regardent ce qui se passe en novembre deux mille vingt-cinq. Et les gens réalisent. Réalisent que l’Ukraine n’est pas en train de perdre. Réalisent que l’Ukraine est en train de changer de stratégie. Réalisent que l’Ukraine a une chance. Et ça change la perception. Ça change la narration. Ça change le sentiment international. Parce que avant? Avant on pensait que l’Ukraine était en défense. Que l’Ukraine était réactive. Que l’Ukraine était faible. Mais maintenant? Maintenant on voit que l’Ukraine est en attaque. Que l’Ukraine est proactive. Que l’Ukraine est fort. Et ça change tout. Ça change la volonté d’aider. Ça change le soutien. Ça change la perception de qui va gagner. Et tout ça ça favorise l’Ukraine. Tout ça ça affaiblit la Russie. Parce que si le monde croit que l’Ukraine peut gagner? Alors le monde soutient l’Ukraine. Et le soutien c’est des armes. Des munitions. Des technologies. Des ressources. Et avec les ressources l’Ukraine peut continuer. Peut frapper. Peut affaiblir. Peut avancer vers la victoire.
La perception change. Et la perception c’est tout dans la guerre. Si tout le monde croit que tu vas gagner alors tu peux gagner. Et l’Ukraine commence à gagner cette bataille de perception.
Le futur immédiat et la continuation de la campagne
Et décembre? Décembre va être loud. Décembre va être bruyant. Décembre va être des attaques continuelles. Des frappes continuelles. Des destructions continuelles. Et la Russie va essayer de réagir. Va essayer de protéger. Va essayer de reconstruire. Mais ça va être insuffisant. Insuffisant parce que la cadence des attaques ukrainiennes va être plus rapide que la cadence des reconstructions russes. Et donc le déficit va s’accumuler. Et le déficit va s’aggraver. Et au final la Russie va s’effondrer. Pas demain. Pas la semaine prochaine. Mais avant long. Et quand la Russie s’effondrera? Quand la Russie perdra la capacité? Alors l’Ukraine pourra avancer. Avancer vers la victoire. Avancer vers la reconstruction. Avancer vers la paix. Et ça c’est l’espoir. C’est l’objectif. C’est le futur. Et novembre deux mille vingt-cinq c’est quand ça a commencé à devenir possible.
J’attends décembre. J’attends janvier. J’attends de voir comment ça va continuer. Et j’ai l’impression que l’Ukraine va surprendre tout le monde. Surprendre par sa capacité à soutenir cette pression. Surprendre par sa résilience.
Source : kyivindependent
Ce contenu a été créé avec l'aide de l'IA.