Maintenant regardons le plan. Le plan de Trump. Vingt-huit points. Et qu’est-ce qu’il dit? Il dit que Ukraine doit abandonner le territoire. Le territoire que Ukraine contrôle. Le territoire que Ukraine a libéré. Ukraine doit l’abandonner. Il dit que Ukraine doit réduire son armée. De combien? À combien? Personne ne sait vraiment. Mais les chiffres qui circulent c’est entre trois cent mille et quatre cent mille soldats. Trois cent mille. C’est moins que la moitié de ce que l’Ukraine demande pour la sécurité minimale. Il dit que Ukraine doit renoncer à l’OTAN. À jamais. À perpétué. Ukraine ne pourra jamais rejoindre l’OTAN. Jamais. C’est une concession permanente. C’est la cession de la souveraineté ukrainienne pour les générations futures. Il dit que l’Europe ne peut pas stationner de troupes en Ukraine. C’est une demande russe. C’est pour éviter que l’Europe protège Ukraine. C’est pour garder Ukraine sous l’influence russe. Et il y a plus. Il y a compensation. Ukraine doit payer les États-Unis. Payer pour la sécurité que les États-Unis vont supposément fournir. C’est du chantage économique. C’est de l’extorsion en forme de diplomatie.
Les conditions inacceptables et les compromis impossibles
Et quand on lit ça on comprend. On comprend que ce n’est pas un plan de paix. C’est un plan de capitulation. C’est un plan de reddition. C’est un plan qui dit: l’Ukraine a perdu. Accepte ça. Et maintenant les Européens veulent améliorer ça. Veulent dire: non attendez. Si c’est ça alors voici une alternative. Et l’alternative européenne c’est mieux. Oui c’est mieux. C’est un plan moins mauvais. Mais c’est encore un plan mauvais. Parce qu’un plan mauvais moins mauvais c’est toujours un plan mauvais. Et c’est ce que rejette le Kremlin. C’est ce qui ne convient pas à la Russie. Pourquoi? Parce que la Russie n’a pas besoin d’un plan moins mauvais. La Russie a besoin du plan mauvais. Du plan qui donne tout à la Russie. Et c’est Trump qui offre ça. Trump qui donne ça. Et donc le Kremlin dit non à l’Europe. Et le Kremlin dit oui à Trump. C’est simple. C’est brutal. C’est la réalité de novembre deux mille vingt-cinq.
L’Europe essaie de négocier. L’Europe essaie de trouver un compromis. Mais tu ne négocie pas avec quelqu’un qui veut tout. Tu négocie avec quelqu’un qui veut quelque chose. Le Kremlin veut tout. Et donc il n’y a pas de négociation possible.
L'abandon de l'Europe et la victoire de la disunion
Et voilà ce qui arrive. Le Kremlin divise. Divise Trump et l’Europe. Et Trump sort de sa alliance européenne. Ou plutôt Trump utilise son alliance européenne pour faire ce qu’il veut. Utilise les Européens pour légitimer ses propositions. Utilise les Européens puis les jette. Et les Européens réalisent. Réalisent qu’ils n’ont aucun pouvoir. Aucune influence. Qu’ils peuvent proposer tant qu’ils veulent mais personne ne les écoute. Personne n’a écouté le plan français de retenue mutuelle. Personne n’a écouté les propositions allemandes. Personne n’a écouté. Et maintenant personne n’écoute. Et l’Europe? L’Europe est frustré. L’Europe est humilié. L’Europe est absent du jeu. Et c’est tout ce que la Russie voulait. La Russie voulait que l’Europe soit hors du jeu. Et la Russie a réussi. Juste en disant non. Juste en disant que Trump c’est acceptable. Et maintenant le jeu c’est entre Trump et Poutine. Et Ukraine? Ukraine regarde. Ukraine attend. Ukraine prie.
La négociation entre Trump et Poutine et l’exclusion systématique de l’Europe
Et maintenant c’est clair. La vraie négociation c’est entre Trump et Poutine. C’est pas l’Europe. C’est pas l’ONU. C’est Trump et Poutine. Et ça c’est dangereux. Dangereux parce que Trump n’a pas d’expérience. Trump ne comprend pas les complexités européennes. Trump ne comprend pas la sécurité collective. Trump comprend juste les deals. Les transactions. Les arrangements. Et Poutine sait ça. Poutine sait comment faire des deals avec les gens comme Trump. Poutine sait comment flatter. Comment manipuler. Comment utiliser. Et donc Poutine va faire un deal avec Trump. Un deal qui favorise la Russie. Et Trump va annoncer: j’ai fait un deal. Bravo moi. Je suis un héros. Je suis un homme de paix. Et les Européens? Les Européens vont devoir accepter. Devoir accepter le deal que Trump a fait. Devoir accepter que leur alié les a abandonnés. Devoir accepter que l’Europe est hors de jeu. Et c’est ça le vrai drame. C’est pas juste un plan mauvais pour l’Ukraine. C’est la fin de l’Europe comme acteur géopolitique. C’est l’Europe qui accepte de devenir un client. Un vassal. Un observateur.
L’Europe réalise trop tard. Réalise que Trump n’est pas un allié. Trump est un négociant. Et les alliés ne sont que des acteurs dans la transaction. Et l’Europe est l’acteur sacrifié.
Conclusion : l'avenir sombre et l'effondrement de l'ordre transatlantique
Novembre vingt-quatre deux mille vingt-cinq. Et le monde change. Change complètement. Trump accepte. L’Europe est rejeté. La Russie sourit. Et l’Ukraine? L’Ukraine descend. Descend lentement vers l’abîme. Parce que aucun pays. Aucun pays n’est venus la sauver. Et maintenant Ukraine doit accepter. Doit accepter le plan Trump. Doit accepter d’abandonner le territoire. Doit accepter d’être faible. Doit accepter d’être seul. Ou refuser. Refuser et combattre seul. Combattre Trump. Combattre la Russie. Combattre tout seul. Et c’est impossible. C’est impossible pour une petite nation. C’est impossible pour Ukraine. Et donc Ukraine acceptera probablement. Acceptera le plan. Acceptera la défaite. Acceptera d’être une chèvre attachée. Une expression utilisée par l’ancien chef du MI6. Une chèvre attachée pour que la Russie la mâche quand elle en aura envie. Et c’est ça l’avenir. C’est ça novembre deux mille vingt-cinq. C’est le moment où l’ordre transatlantique s’écroule. Et personne ne crie. Personne ne proteste vraiment. Parce que tous les alliés sont trop faibles. Trop divisés. Trop occupés à leurs propres problèmes.
L’impact sur la sécurité européenne et la menace russe émergente
Et maintenant regardons l’après. Après que Trump a fait son deal avec Poutine. Après que l’Ukraine a accepté. Après que l’Europe a accepté. Qu’est-ce qui se passe? La Russie va se reposer. Va reconstruire. Va attendre. Et puis la Russie va attaquer de nouveau. Où? En Moldavie peut-être. En Géorgie peut-être. Dans les Baltes peut-être. Parce que la Russie n’a pas changé. Le Kremlin n’a pas changé. Les objectifs russes n’ont pas changé. La Russie veut l’empire. L’empire de Catherine la Grande. L’empire de l’Union Soviétique. Et un plan de paix mou ne change pas ça. Un armistice ne change pas ça. Une paix imposée ne change pas ça. Ça juste recule l’horloge. Recule le problème. Et puis l’horloge recommence. Et la Russie attaque de nouveau. Et cette fois l’Europe sera encore plus faible. Sera divisé. Sera sans alliés américains. Sera seul. Et la Russie attaquera. Attaquera et gagnera. Et l’Europe va s’effondrer. Région par région. Pays par pays. Jusqu’à ce qu’il ne reste que la Russie. Et le rêve européen de paix? Le rêve de liberté? Le rêve de démocratie? Disparu. Disparu comme dans le vent.
Je vois ça. Je vois le futur. Et c’est sombre. C’est noir. C’est l’Europe qui disparaît. L’Europe qui accepte sa défaite. Et c’est horrible.
L’acceptation inévitable de l’Ukraine et la soumission forcée
Et Ukraine? Qu’est-ce que Ukraine va faire? Ukraine va faire ce qu’on lui dit. Ukraine va accepter le plan. Parce que Ukraine n’a pas le choix. Parce que Trump va pressurer. Parce que l’Europe va dire: tu dois accepter. Parce que les alliés sont partis. Et Ukraine va accepter. Accepter de perdre le territoire. Accepter de réduire l’armée. Accepter de renoncer à l’OTAN. Et puis Ukraine va attendre. Attendre que la Russie attaque de nouveau. Et quand la Russie attaquera? Ukraine n’aura pas l’OTAN. N’aura pas une armée suffisante. N’aura pas les alliés. Et Ukraine va tomber. Complètement tomber. Va devenir part de l’empire russe. Va être annexée. Va disparaître de la carte. Et personne ne fera rien. Parce que ça sera trop tard. Parce que les garanties de sécurité de Trump? Trump les oubliera. Ou Trump ne les honorera pas. Parce que Trump change d’avis. Trump abandonne les alliés. Trump pense seulement à lui. Et donc Ukraine sera sacrifié. Complètement. Entièrement. Et c’est ça novembre deux mille vingt-cinq. C’est le moment où Ukraine comprend. Comprend qu’elle a perdu. Perdu pas militairement. Perdu diplomatiquement. Perdu parce que personne ne l’a soutenu. Personne n’a eu le courage. Personne n’a dit non. Et donc Ukraine descend.
Ukraine acceptera. N’aura pas le choix. Mais accepter une défaite programmée c’est accepter la mort lente. Et ça va être horrible à regarder.
L’héritage de novembre et la nouvelle géopolitique mondiale
Et quand les historiens écriront sur ça? Quand les historiens étudieront novembre deux mille vingt-cinq? Ils vont dire: c’était le moment. C’était le tournant. C’était quand l’Occident s’est divisé. Quand l’Amérique a trahi ses alliés. Quand la Russie a gagné. Pas par la force. Pas par la victoire militaire. Gagné par la diplomatie. Par la manipulation. Par la compréhension que l’Occident était faible. Était divisé. Était prêt à s’écrouler. Et la Russie a enfoncé le clou. A joué le jeu. Et a gagné. Et maintenant le monde va changer. Parce que si Trump peut abandonner l’Europe? Si Trump peut faire un deal avec la Russie? Alors tous les alliés vont comprendre. Vont comprendre que Trump n’est pas fiable. Vont comprendre que l’Amérique n’est pas une puissance stable. Vont comprendre qu’ils doivent se débrouiller seuls. Et ça va créer un nouveau monde. Un monde sans les États-Unis en tant que gardiens. Un monde où chaque nation agit pour elle-même. Un monde du chaos peut-être. Un monde de la loi du plus fort. Et ça c’est l’héritage. C’est ce que va laisser Trump. C’est ce que va laisser novembre deux mille vingt-cinq.
L’histoire va juger ça. Et je crois que l’histoire va dire: c’était la fin. La fin de l’ordre occidental. La fin de l’alliance transatlantique. La fin du monde que nous connaissions.
Source : kyivindependent
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