Hryshyne. Village agricole tranquille avant la guerre. Maintenant c’est le dernier rempart avant Pokrovsk depuis l’ouest. Les Russes cherchent à l’infiltrer à la prendre à l’utiliser comme tremplin pour encercler completement la plus grande ville de la région. Mais Hryshyne tient. Hryshyne refuse. Et surtout Hryshyne tue. Le Commandement Général ukrainien rapporte que tous les groupes d’assaut russes envoyés vers Hryshyne ont été éliminés avant d’atteindre le village. Tous. Zéro succès. Zéro infiltration. Zéro consolidation. Les Russes envoient des groupes de cinquante soixante quatre-vingts soldats. Ils ne savent pas à l’avance qu’une douzaine seulement survivra. Que trois ou quatre atteindront les première positions. Que zéro sortiront de la zone de contact. Les Ukrainiens positionnent des snipers. Des tireurs d’élite. Des équipes de mitrailleuses. Ils créent un fusil de tir à l’embouchure. Personne ne passe. Personne ne survit. Personne ne s’échappe. Hryshyne c’est devenu une machine à tuer pour les Russes. Une perte assurée. Une tentative inutile. Et pourtant les Russes continuent. Jour après jour. Nuit après nuit. Envoyant d’autres hommes. D’autres vies. D’autres rêves.
Les tentatives de contournement échouées systématiquement
Les Russes comprennent qu’une attaque directe sur Hryshyne c’est un suicide collectif. Alors ils changeront de tactique. Ils vont essayer de contourner. De passer par le nord. De passer par le sud. De passer par l’est. De partout sauf directement. Mais les Ukrainiens anticipent. Anticipent toujours. C’est comme si les Ukrainiens savaient ce que les Russes vont faire avant que les Russes ne le sachent eux-mêmes. Les rapports du 7th Air Assault Corps montrent des embuscades préparées des jours à l’avance sur les routes de contournement. Des anti-tank mines placées. Des drone operators positionnés. Des drone drops préparés. Tout est planifié. Tout est optimisé. Et quand les Russes arrivent il ne reste que la mort. La Special Operations Forces publie des vidéos montrant des attaques de drones sur des colonnes russes prétendument en route pour Hryshyne. Des colonnes qui deviennent des cimetières. Des véhicules qui deviennent des épaves. Des hommes qui deviennent des silence.
Hryshyne c’est une forteresse invisible. Les Russes ne la voyent pas mais elle les voit. Et chaque jour elle tue plus.
Myrnohrad : l'encerclement qui tient bon mais tremble
Myrnohrad c’est la vraie tragédie. C’est le drame du Donbas. C’est la ville partiellement encerclée que la Russie essaie de réduire par la faim par l’isolement par l’asphyxie logistique. Les Ukrainiens y ont des forces. Importantes. Bien armées. Disciplinées. Mais elles sont presque encerclées. Presque. Pas tout à fait. Il reste encore une route. Une fine ligne de connexion vers le reste du territoire ukrainien. Et c’est cette ligne que tout le monde regarde. Les Russes veulent la fermer. Les Ukrainiens veulent la maintenir. C’est une lutte épique pour six kilomètres de terrain. Le 7th Air Assault Corps rapporte que les Russes envoient en permanence des équipes d’infiltration pour couper cette dernière route. Équipes qui meurent. Toutes. Systématiquement. Éliminées avant d’atteindre l’objectif. Les Ukrainiens construisent des barrages. Posent des mines. Installent des guets. Tout pour garder cette ligne viable. Tout pour garder Myrnohrad vivante. Et jusqu’à présent ça tient. Tout juste. Mais ça tient.
Les opérations de dépannage logistique désespérées
Maintenir Myrnohrad c’est un cauchemar logistique. Chaque approvisionnement doit passer par une route dangereuse. Chaque ravitaillement est une mission suicide. Chaque camion qui part pour la ville a une probabilité cinquante pour cent de ne pas revenir. Mais les Ukrainiens continuent à essayer. Continuent à envoyer des munitions. Continuent à envoyer de la nourriture. Continuent à renforcer les positions. L’État-Major ukrainien rapporte que le 7th Air Assault Corps organise des itinéraires alternatifs. Utilise des chemins de campagne. Utilise des déplacements nocturnes. Utilise des déploiements éclairs pour rompre le blocus. Et ça marche. Partiellement. Assez pour que Myrnohrad ne soit pas totalement affamée. Assez pour que les défenseurs puissent tenir quelques jours de plus. Assez pour que l’espoir reste vivant même sous le siège. Le Commandement Général a publié des rapports détaillés montrant comment les forces spéciales ukrainiennes détruisent les points de contrôle russes sur les routes d’approvisionnement. Comment ils éliminent les tireurs russes. Comment ils maintiennent les corridors même temporaires. C’est de la résistance improvisation créativité face à l’impossible.
Myrnohrad c’est un poing fermé dans un étau qui se resserre. Les Ukrainiens refusent de l’ouvrir. Même si ça fait mal. Même si ça saigne.
Central Pokrovsk : les opérations de nettoyage qui se prolongent
Central Pokrovsk n’est pas tombée. N’est pas contrôlée par la Russie. N’est pas perdue pour l’Ukraine. Central Pokrovsk est un champ de bataille urbain où des centaines de petits combats se déroulent chaque jour. Des maisons. Des rues. Des étages. Des sous-sols. Les Russes ont réussi à infiltrer quelques centaines d’hommes en septembre octobre novembre. Pas des milliers. Pas des régiments entiers. Juste quelques centaines. Mais quelques centaines c’est déjà trop. Quelques centaines c’est un cauchemar urbain. C’est des tireurs embusqués. C’est des groupes qui se cachent. C’est de la guérilla dans la ville. Les Ukrainiens lancent des opérations de search and destroy constants. La Skala Separate Assault Battalion nettoie le quartier de la gare. Le 7th Air Assault Corps contrôle le centre. Les Special Operations Forces mènent des raids. Tout le monde y va. Tout le monde chasse. Et lentement les Russes sont éliminés. Repoussés. Réduits au silence.
La bataille pour la gare centrale et le lycée pédagogique
La gare centrale de Pokrovsk. Le lycée pédagogique Pokrovsk. La place Sobornaia. Ce sont les trois points chauds de central Pokrovsk en ce moment. Ce sont les trois endroits où la Russie essaie de consolider. Où elle essaie de créer des positions tenables. Où elle essaie de transformer une infiltration en occupation. Mais les Ukrainiens refusent. Jour après jour les Ukrainiens lancent des attaques nettoyage. La Skala Separate Assault Battalion publie des rapports détaillés des opérations. Des vidéos montrant des positions ukrainiennes autour de la gare. Des positions autour du lycée. Des positions autour de la place. Les images montrent des barricades. Des sacs de sable. Des mitraillettes. Des défenses improvisées mais efficaces. Les Russes viennent. Les Russes meurent. C’est la routine maintenant. Le rapport du Commandement Général du 23 novembre dit que trois cent quatre-vingts-huit Russes ont été éliminés à Pokrovsk depuis le début du mois. Trois cent quatre-vingts-huit. En trois semaines. C’est un régiment entier. C’est la mort qui s’accumule.
La gare devient un ossuaire. Le lycée devient un tombeau. La place devient un cimetière. Et les Russes continuent à venir.
Les opérations anti-drone et les barrages de feu
Les Russes envoient aussi des drones. Des centaines. Des milliers. Tout ce qui peut voler et exploser. Les Ukrainiens abattent la plupart. Mais certains passent. Certains touchent. Certains causent des dégâts. C’est une guerre des drone aussi. Une bataille dans le ciel. Le Commandement Général rapporte que le 23 novembre quatre cent trente-quatre drones ont été abattus sur tout le secteur. Quatre cent trente-quatre. En une journée. C’est un drone toutes les trois à quatre minutes qui tombe du ciel. L’Air Force utilise des missile systems. Utilise des air defense guns. Utilise des electronic warfare. Tout pour garder le ciel dégagé. Et ça marche. La Defense Forces rapportent que plus de cinquante pour cent des drones russes sont abattus avant de causer des dégâts. C’est une proportion énorme. C’est une défense robuste. C’est une technologie qui fonctionne.
Les drones qui tombent c’est de l’argent russe qui brûle dans le ciel. Mais c’est aussi les nuits ukrainiennes qui deviennent légèrement moins terrifiantes.
Conclusion : Pokrovsk tiendra jusqu'au dernier soldat
Pokrovsk ne tombera pas. Pas maintenant. Pas demain. Peut-être plus tard. Mais pas du fait de la faiblesse ukrainienne. Seulement du fait de l’épuisement éternel. Seulement du fait que tout s’use avec le temps. Pokrovsk est devenue une symbole. Un symbole de la résistance ukrainienne. Un symbole du refus. Un symbole que même face à la supériorité numérique face aux pertes face à l’impossible l’Ukraine dit non. Dit je défends. Dit je tiens bon. Les chiffres le montrent. Quarante attaques repoussées en vingt-quatre heures. Trois cent quatre-vingts morts russes en un jour. Trois cent quatre-vingts-huit éliminés en novembre seul. Des centaines de tentatives de contournement échouées. Des milliers de drones abattus. Des milliers d’obus tirés. C’est une symphonie de résistance. C’est une danse macabre où l’Ukraine reste debout. L’Ukraine refuse de plier. L’Ukraine refuse de s’effondrer. Et chaque jour qui passe c’est un jour de gagné. C’est un jour où les Russes s’affaiblissent. C’est un jour où l’arithmétique de la démographie russie s’aggrave. Pokrovsk tiendra.
Vers une guerre d’attrition inévitable et sans fin
Ce qui se passe à Pokrovsk ce n’est pas une bataille tactique. C’est une bataille stratégique. C’est l’avenir de la guerre qui se décide. Les Russes savent qu’ils ne peuvent pas prendre la ville facilement. Savent qu’ils ne peuvent pas écraser les défenses. Savent qu’ils doivent attendre l’épuisement. Attendre que les Ukrainiens se lassent. Attendre que les Ukrainiens manquent de munitions. Attendre que les Ukrainiens perdent la volonté. Mais les Ukrainiens ne se lassent pas. Pas encore. Les rapports du Commandement Général le montrent. Les vidéos de la Skala Battalion le montrent. Les images satellites le montrent. Les Ukrainiens maintiennent une discipline de combat. Une volonté de combattre. Une détermination qui défie la logique. Comment peut-on refuser de se rendre quand on est encerclé? Comment peut-on continuer quand les munitions s’épuisent? Comment peut-on tenir bon quand le brouillard cache l’ennemi? Et pourtant les Ukrainiens le font. Et pourtant les Ukrainiens tirent. Et pourtant les Ukrainiens tuent. Pokrovsk est devenue l’épreuve ultime. L’ultime test de la résilience humaine. Et pour l’instant l’Ukraine gagne cette épreuve.
Pokrovsk tiendra. Pas pour des raisons stratégiques. Pour des raisons humaines. Les Ukrainiens ont quelque chose que les Russes n’ont pas. L’espoir. L’amour de la patrie. La certitude que c’est juste.
Source : armyinform
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