Il Est Temps de Dire STOP : Les Cellulaires N’ont Pas Leur Place à l’École Secondaire !

Un fléau qui tue l’attention en classe

Il suffit d’entrer dans une classe pour le constater : les cellulaires détournent l’attention, rendent l’apprentissage superficiel et multiplient les interruptions. Notifications, réseaux sociaux, jeux : comment espérer enseigner dans ce brouhaha numérique ? L’école doit redevenir un sanctuaire de savoir, pas une succursale de TikTok.

Cyberintimidation, comparaisons toxiques et anxiété

Le cellulaire n’est pas qu’un gadget : c’est la porte ouverte à l’intimidation, au harcèlement et à la comparaison permanente. Chaque jour, des jeunes subissent moqueries, menaces et humiliations via leur téléphone. Interdire le cellulaire, c’est protéger les élèves, restaurer le respect et briser le cercle vicieux de la pression sociale.

Des ados côte à côte, mais seuls derrière leurs écrans

Dans les corridors et à la cafétéria, les cellulaires isolent au lieu de rassembler. Les pauses se transforment en silences numériques, chacun scotché à son écran. Redonner la parole, encourager les vraies rencontres, c’est ça, la mission de l’école. Sans portable, les jeunes réapprennent à se parler, à collaborer, à se respecter.

Le faux prétexte de l’outil pédagogique

On entend souvent que le cellulaire serait indispensable pour apprendre, communiquer ou organiser son horaire. Cet argument masque la réalité : la majorité des usages en classe sont distrayants, pas éducatifs. Les exceptions pédagogiques existent déjà, mais elles ne justifient pas l’anarchie actuelle. Il est temps de remettre de l’ordre !

L’école doit former des citoyens, pas des zombies numériques

L’interdiction des cellulaires n’est pas une attaque contre la jeunesse, mais un acte de responsabilité. Former des esprits critiques, autonomes et capables de vivre sans dépendance numérique, voilà le vrai défi du XXIe siècle. Les élèves méritent mieux que la distraction permanente : ils méritent un environnement propice à l’épanouissement et à la réussite.

La grève annoncée ne doit pas faire reculer la société québécoise. Il est temps de choisir le bien-être, la réussite et la santé mentale de nos jeunes, plutôt que de céder à la dictature du cellulaire. L’école doit être un lieu d’apprentissage, de socialisation et de respect – pas un terrain de jeu pour les écrans. Osons le changement, pour une génération plus forte, plus libre et plus humaine !