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Trump dégaine l’arme économique : après Intel, les États-Unis menacent de prendre des parts dans d’autres géants mondiaux
Credit: Adobe Stock

Ce qui n’était qu’une hypothèse devient une menace explicite. Un conseiller proche de Donald Trump a annoncé que, suite à l’entrée de l’État américain dans le capital d’Intel, d’autres entreprises pourraient bientôt subir le même sort. L’annonce n’est pas anodine : elle envoie un signal violent aux marchés, une onde de choc aux multinationales, et une sueur glaciale dans le dos des investisseurs. Car si Washington commence à s’immiscer dans le cœur d’acteurs technologiques privés, c’est toute l’économie mondiale qui se retrouve sur le fil d’un rasoir.

Ce geste n’est pas seulement économique — il est politique, stratégique, géopolitique. Derrière l’actionnariat forcé se devine une logique : celle d’un État prêt à sacrifier l’illusion du libre marché pour s’arroger un droit de contrôle absolu. Et ce droit, dans la bouche d’un Trump conseillé et encouragé, pourrait s’étendre à toutes les firmes jugées stratégiques. Plus aucun géant n’est “intouchable”. Le climat bascule. On ne parle plus de régulation, mais de mainmise. Et cette main pourrait bientôt serrer très fort.

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